Petit retour en arrière ... la naissance de l'escroquerie ...
Voici les échanges emails entre Michel M. (à qui nous avions prêté notre plume) et Me Catherine B., avocate des Consorts R., faisant suite à un courrier RAR de mise en
demeure adressé en mai 2010 par cette avocate, dans le but manifeste d'intimider Monsieur Michel M., tentative d'intimidation qui non seulement n'a pas fonctionné mais s'est retournée contre son auteur ...
Historique d'une fausse créance revendiquée par les Consorts R. à l'encontre de Monsieur Michel M. et
chantage à la signature d’une vente immobilière frauduleusement initiée par les
consorts R. sur une maison indivise comprise dans la succession (promesse de
vente signée en mars 2010 avec usurpation du titre de propriétaire plein et entier par les Consorts R., au mépris de la part indivise des héritiers légaux de Monsieur Henri M. : voir pièces jointes ci-après ) …
Une belle tentative d'escroquerie mise en lumière et confondue par la révélation des mensonges et contradictions flagrantes de l'avocate des frères escrocs ... pas très maligne il faut bien l'avouer, manifestement aveuglée par un orgueil démesuré qui, au-delà du ton particulièrement hautain et méprisant, l'a poussée, in fine, à trahir la sombre escroquerie de ses clients ...
La vanité n'a jamais servi l'intelligence ...
La vanité n'a jamais servi l'intelligence ...
______________________
Extraits de la promesse de vente de la petite maison indivise consentie frauduleusement par les Consorts R. le 9 mars 2010, avec usurpation du plein titre de propriété, en parfaite connaissance du caractère indivis de cette maison comprise dans la succession de leur mère et donc de leur incapacité à en disposer sans le concours des autres indivisaires (cf. attestation notariée avec dévolution successorale établie par Me Chantal L. en 2005 et remise pour copie aux Consorts R.)
Extraits de la promesse de vente de la petite maison indivise consentie frauduleusement par les Consorts R. le 9 mars 2010, avec usurpation du plein titre de propriété, en parfaite connaissance du caractère indivis de cette maison comprise dans la succession de leur mère et donc de leur incapacité à en disposer sans le concours des autres indivisaires (cf. attestation notariée avec dévolution successorale établie par Me Chantal L. en 2005 et remise pour copie aux Consorts R.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.